Haruka na Sekai
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Haruka na Sekai

Un monde lointain, oublie et chaotique
 
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 Arielle et Warui... gardes de l'Impératrice

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Arielle & Warui
Gardes de l'imperatrice ~ Hybride
Arielle & Warui


Féminin
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Date d'inscription : 09/04/2007

Arielle et Warui... gardes de l'Impératrice Empty
MessageSujet: Arielle et Warui... gardes de l'Impératrice   Arielle et Warui... gardes de l'Impératrice Icon_minitimeLun 9 Avr - 20:04

Prénom: Arielle et Warui

Nom: N'en ont pas

Âge: 21 ans

Sexe: Féminin

Espèces: Hybride animal

Royaume: Sylian

Lieu de naissance: Une ferme dans les champs de Sylian

Famille:
Salyara, mère, paysanne
Terisco, père, paysan

Pouvoirs: Elles n'en ont aucun et ne voient pas pourquoi elles auraient du en avoir

Caractère: Arielle est la plus sage des deux. Plus tranquille, calme, passive. Elle doit souvent maitriser sa soeur quand celle-ci risque de faire un massacre. Arie est l'ange du duo. Elle peut s'isoler un moment à revivre de vieux souvenirs. Elle aime bien chanter et parle facilement avec d'autres. Elle apprécie les armes pour se défendre, pas pour le plaisir de blesser. Elle a toujours été la chouchou de ses parents, elle est polie, agréable à vivre, très gentille mais parfois elle se montre le contraire. Parfois vilaine et aimant faire un peu de grabuge. C'est peu courant. Si vous la croisez généralement elle aura un sourire et vous saluera avec un "bonjour" amical. En compagnie de sa soeur elle se tait. On peut devenir son ami mais elle ne sera pas aussi fidèle qu'à sa soeur. C'est Arielle la soumise, elle fait tout ce que Warui lui dit de faire. Et comme sa soeur elle affectionne les tavernes. Warui est un peu la démone de la paire. Elle cherche la bagarre, le chaos, ne se gêne pas pour dire ce qu'elle pense, n'y va pas par quatre chemins. Et encore, quand elle est gentille. Il n'est pas rare de la voir dans des combats de rue avec pour gage une somme de rien du tout, juste pour le plaisir de voir le sang couler, d'être la plus forte. Si on l'insulte on se prend un coup de poing, c'est sûr. Warui est sadique en quasi-permanence. Elle aime jurer et son langage est souvent ordurieur, grossier. Ses insultes le sont encore plus Parfois elle est douce. Elle l'est avec sa soeur, qu'elle respecte malgré leur rivalité. Warui sort toujours le soir pour aller dans les ruelles. Les hommes au palais de Yuri ne sont pas très consentants, elle va voir ailleurs. Il est quasi-impossible de la faire s'attendrir. Un vrai bloc de pierre. Et encore... elle est assez... spéciale si on se fie aux gens des rues noires...

Physique: Warui et Arielle sont toutes deux identiques jusqu'au bout de la queue. La seule différence réside dans le oeil gauche. Rouge à toutes les deux, on ne voit pas la pupille de celui de Warui, ce qui donne un effet bizarre. Toutes deux d'un poil bleu très brillant, une longue queue qui bouge comme elles le veulent. Des cheveux noirs, ébourriffés tout le temps, jusqu'au bas du cou, des oreilles tombantes jusqu'en bas des épaules. Ce qu'on ne voit pas sur l'avy c'est leur trois crêtes dorsales, petites, dorées, qui dissuadent de monter sur leur dos. Elles ont une taille fine mais pas trop, on voir leurs muscles un peu partout. Complétons avec des sens plus aiguisés que ceux des Humains, une force physique plus développée, une rapidité et agilité accrue et toutes deux ont une machoire pleine de dents blanches très pointues et menaçantes. Warui a plus de cicatrices dues à ses activités. Mais malgré tout on dirait toujours des kangourous sur deux pattes. Pas l'air très aimable toutefois.

Histoire: Une simple journée. Il y avait rien de bizarre. Rien de très important pour le royaume. Rien ne serait vraiment affecté. Quelque chose de petit oui. Un couple. Deux simples fermiers. Lui était à genoux dans la paille, elle couchée et les deux petites elles criaient. On entendait les animaux faire leurs bruits et tourner en rond dans leurs box. Les deux nouveaux parents n'y prêtaient pas attention. Ils regardaient leurs filles. Un enfant il s'y attendait, ils avaient été très heureux de voir l'ainée, qu'ils avaient prénommée Arielle. Mais voir leur autre fille avait été une si grande surprise. Ils l'avaient prénommé Warui. Le père, Terisco, alla à la maison, chercher une couverture. Il l'emmena sur eux tous, ils passèrent la nuit dans la grange. Réveillés par les cris des petites à plusieurs reprises. Mais malgré les contraintes qui accablent tout parent, ils s'y firent quand les petites commencèrent à bien dormir, vers l'âge de six mois. Et là encore... car Warui les réveillait au beau milieu de la nuit. Quand elle finit par bien dormir ils purent récupérer. Enfin. Quand elles se mirent à ramper et trotter, il fallut les surveiller encore plus. Arielle restait à portée de vue le plus souvent, explorait les environs de la maison. Warui était toujours dans les planations et près de la grange, du poulailler, de la porcherie, etc. Sur deux jambes, l'enfer commença. Avec elle. Elle allait jusque dans les champs voisins, faute d'intérêts disait-on. Dès l'âge de quatre ans, leur caractère s'affina encore plus, chacun de leur côté.

Arielle était l'enfant rêvée de ses parents. Celle qu'ils avaient voulue. Leur petit ange. On la félicitait grandement pour tout. Quand Warui tentait d'épater la famille à son tour, c'était un hochement de tête. Son père lui dit qu'ils ne pensaient pas avoir deux filles. Alors dans sa tête, elle était l'indésirable, la pièce en trop. Sa rage envers Arielle, déjà forte, s'intensifiait toujours plus. Warui, un soir, prit un couteau dans la cuisine et sortit dehors, sous les étoiles. Ce qui était une belle nuit pour certains le fut moins pour d'autres. La maisonnée se réveilla sous les cris qui percèrent le silence. On attaquait le poulailler. Terisco laissa sa femme et sa fille à la maison pour aller voir ce se passait. Il vit des poules en sang, certains n'en avaient que pour un moment encore, d'autres étaient déjà mortes. Il y en avait des sauves. Il en fut soulagé. Mais ce qu'il vit au milieu du carnage l'étonna. Il y avait Warui un couteau rougi à la main, qui le fixait. Une poule à ses pieds. Son père la ramena à la maison par la peau du cou. Il raconta tout. Et là encore le fossé se creuse entre les soeur. Entre Warui et sa famille. Le soir elle ne dormait pas.

À partir de cette nuit au poulailler, elle fut vraiment considérée comme une moins que rien. Ses prents lui interdirent jusqu'à nouvel ordre, de rentrer dans la maison, même pour dormir durant la nuit ou pour les repas. Il n'en fallait pas plus pour que Warui se sente comme un déchet de la pire espèce. Elle alla se réfugier dans la grange, au grenier où il y avait du foin et quelques vieilles couvertures comme office de lit. Elle y passait ses journées sans sortir, jusqu'à l'âge de sept ans. Trois ans sans sentir le soleilsur soi c'est voyant. Elle ne prenait pas vraiment de bain, le réflexe était quasi-inextistant chez elle. Elle se lèchait comme le font les animaux véritables. Elle mangeait avec eux. Elle grognait, sifflait, crachait, ne parlait jamais. Encore aujourd'hui elle préfère ça au mot.

Les jumelles atteignirent l'âge d'aller à l'école. Arielle attendait ce moment depuis si longtemps. Apprendre apprendre! Elle était suivie par sa soeur. Warui attirait l'attention de loin. Tous les gamins la remarquaient. Son air sauvage, son regard froid, ses vêtements déchirés volontairement ou par les animaux à qui elle s'était frottée, ses passage dans la nature. Ses cheveux en batailles, jamais coiffés. Les gamins trouvèrent un bouc émissaire mais celui-ci n'était pas soumis. Warui se battait tout le temps. Les enfants finirent par la craindre en dehors de l'école. La sauvageonne. En classe elle n'était pas mieux. Ne travaillait jamais, ne faisait jamais attention. Elle jettait tout à terre. Alors qu'Arielle. Tout le monde l'aimait. Elle faisait attention à tout. Studieuse, elle avait de très bons résultats. Elle avait honte, honte de sa petite soeur. Les choses ne changeaient pas. Arielle se sentait mal, l'adolescence était arrivée. Les garçons la trouvaient jolie, même Warui avait ces compliments. Mais Arie se sentait à part de tous. Parce que contrairement à sa soeur, elle ne reluquait pas les garçons. Mais les filles. Elle ne le disait à personne et elle se surprenait à reluquer sa propre soeur. Le voyaient-ils? Voyaient-ils qu'elle était différente?

Elle espérait que non. En apparence, Arielle était normale. Elle alla même chercher conseil auprès de Warui. Un après-midi d'été, elle avaient quinze ans. Arielle lui demanda si elle aussi avait commencé à mieux regarder les autres.
- Oui, dit Warui. Comme toi je regarde les autres.
- Les garçons...
- Toi non?
- Warui... il faut que je le dise à quelqu'un... c'est si lourd à porter..
- Dis toujours grande soeur.
- Je... je regarde les filles...
- Et alors?
- C'est pas normal!
- Mais si...
- Non j'te dis!
Arielle ne voulait pas la croire jusqu'à ce qu'elle sentit sa soeur se coller contre elle. Mais...
- T'ai-je déjà dit à quel point je te trouvais séduisante?
Warui l'embrassa dans le cou. Arielle se mit à rougir comme une tomate.

- Hein que quoi?
Warui.... aussi? Mais... comment c'était possible? Arielle décida de ne plus se poser la question. ça ne servirait à rien. Warui l'emmena avec elle pour renter à la maison. Arie retourna voir ses parents et Warui retourna dans la grange, sa maison à elle. Arielle réussit ses études et Warui... pas vraiment non. Mais c'était le cadet de ses soucis. Elle et sa soeur allèrent plutôt à la ville d'Esvana. Arielle la guida, Warui n'ayant pas vraiment étudié, celle-ci se retrouvait assez démunie avec les mots et les chiffres. Gardes. Ce qu'elle devinrent. Les gardes personnelles de l'Impératrice. Pas vraiment reposant pour les oreilles et le mental. Warui répéra très vite le meilleur endroit où se défouler et se passer les nerfs: les mauvais quartiers avec un bar pas si mal. Tous les soirs elle y allèrent et devinrent des habituées. Pour passer sa rage, Warui se battait pour de l'argent. Pas de parents pour leur dire quoi faire. La belle vie. mais quand on y regarde, on se dit que c'est dommage que se soit la vie d'Arielle. Pour Warui c'est un peu la seule voie. Elle et Arielle sont devenues connues dans les mauvais quartiers, chaque soir elles fêtent. À se demander comment elles font pour revenir au palais de Sylian tant elles sont ivres certains soirs.

Point fort/Point faible: Les mêmes pour les deux. Une grande force physique mais elles n'endurent pas un long combat

Objet: Chacune possède une épée à deux lames et quelques vêtements de rechange quand elles doivent voyager sous ordre de l'Impératrice

Compagnon: Pour Arie c'est sa soeur et d'autres femmes... Warui c'est qui le veut bien et sa soeur
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