Le sable rouge sang s’étend à perte de vue, et les simples choses que l’on peut voir, c’est des rochers, mais des rochers ressemblant plus ou moins.. à des décombres... Des décombres à moitié enfouis dans le sable de la couleur du sang. Le ciel est noir, comme prêt à exploser, à lancer des tornades et des éclairs, mais rien, il n’y a rien que ce noir inquiétant, sans aucune trace de ce que l’on pouvait apeller un soleil... Là, les nuages bouchent tout. Pas de vent.. C’est calme. Trop calme justement, cela fait peur. Entre les terres de feu, reputées pourtant terrifiantes, et ce desert, le desert est bien le plus effrayant des deux aux dres des voyageurs. Il y régnait une atmoshere.. apocalytique.. Des éclairs parfois zébraient le ciel, sans toucher le sol, étrangement.
Lorsqu'il y a la pluie bénéfique, le soleil se fait, et le sable laisse la place à Pelarin, la ville éphémère.